Poète, journaliste et écrivain français.

Poète dramatique ; ses épigrammes lui attirèrent des ennemis et le comte de Clermont, pour l’une d’elles, lui fit subir une bastonnade dont il mourut des suites.

Peintre, graveur et portraitiste.

Homme politique et philosophe, membre de l’Académie française (1824).

Médecin, professeur d’hygiène à la faculté de Paris, membre de l’Académie de médecine (1842), co-fondateur du Journal hebdomadaire de la médecine.

Poète et essayiste, défenseur de ce qu’il nomme la « poésie pure ». Une conception qu’il développe dans de nombreux ouvrages. Fondateur de la revue La Phalange (1906).

Historien et auteur dramatique français. Censeur dramatique sous la Restauration, il était le frère de l’abbé Royou avec qui il corédigeait L’Ami du Roi, de 1790 à 1792.

Conseiller général de Mirecourt, père de Pierre de Rozières, membre de la Société d’Archéologie Lorraine.

Célèbre peintre baroque flamand. Il fut également diplomate.

Compositeur autrichien.

Pianiste, l’un des plus importants du XXe siècle et l’un des meilleurs interprètes de la musique de Chopin.

Pianiste, compositeur et chef d’orchestre russe.

Economiste libéral et haut fonctionnaire, Il joue un rôle majeur dans les réformes économiques réalisées en France à partir de 1958, s’opposant aux idées keynésiennes. Membre de l’Académie française et de l’Ac. des Sc. Morales et Politiques.

Poète, bibliophile et collectionneur.

Baryton italien, célèbre pour la puissance de sa voix et son opposition au fascisme.

Naturaliste et homme politique martiniquais, maire de Saint-Pierre (1854-1856), président du Conseil général de la Martinique, directeur du Jardin d’acclimatation (1860).

Diplomate, nommé secrétaire de la légation de France à Stockholm en juillet 1814, après avoir été collaborateur de Caulaincourt à Saint-Pétersbourg. Ambassadeur à Turin (1836-1840), puis à Bruxelles (1840-1848).

Evêque de Monaco (1962-1971), il fut très impliqué dans le développement du scoutisme.

Compositeur et professeur de musique belge.

Grande couturière et designer française, fondatrice de la maison de couture éponyme.

Chirurgien en chef de l’hôtel des Invalides, membre de l’Académie des sciences.

Poète et écrivain, auteur des Allumettes suédoises.

Général français de la Révolution et de l’Empire.

Colonel d’Empire, commandant à Saint-Domingue (1801-1804), il sert dans la Grande Armée (campagnes de Prusse et de Pologne).

Ecrivain et historien allemand, il donna son nom au masochisme.

écrivain atypique, collaborateur puis déporté en camp de concentration, il est exécuté par un SS au moment de la libération du camp.

Médecin accoucheur français. Fou littéraire, il fut l’auteur de la Luciniade.

Homme de lettres, traducteur de Pline, élu à l’Académie française (1701) en remplacement de Toussaint Rose.

Ecclésiastique et homme de lettres spécialiste de Pétrarque, érudit et libertin, il s’occupa de l’éducation de son neveu, le marquis de Sade.

Écrivain sulfureux, auteur de Justine.

Historien du cinéma, proche des Surréalistes, journaliste aux Lettres françaises d’Aragon, il fut aussi un résistant de la première heure.

Romancière française.

Agronome, membre de la Société royale d’agriculture, auteur d’une Pomologie. Pionier de la génétique, il a réalisé des hydridations sur les melons.

Physicien français. Découvreur de la fluorescence X, il donna son nom à un phénomène appelé l’effet Sagnac.

Danseuse australienne de French cancan, elle est engagée aux Folies-Bergères en 1897 ; Alice Guy réalisa un film sur elle.

Dessinateur de l’expédition de l’Astrolabe de Dumont-d’Urville (1826-1829) ; il sera aussi l’illustrateur du voyage de circumnavigation de Cyrille Laplace.

Diplomate, membre du Conseil de régence, membre de l’Académie française (1726) et de l’Académie des Inscriptions.

Fils naturel de Philippe d’Orléans, évêque de Laon (1721) puis archevêque duc de Cambrai (1723).

Evêque de Couserans (1752-1779).

Poète. Membre de l’Académie française.