Philippe-Emmanuel de Coulanges
Magistrat et homme de lettres français. Chansonnier fameux, il était le cousin et l’ami de Madame de Sévigné.
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Magistrat et homme de lettres français. Chansonnier fameux, il était le cousin et l’ami de Madame de Sévigné.
Marquis d’Ailiers et duc du Lude, grand maître de l’artillerie de France
Maréchal de France, général des galères de France, premier écuyer de la Dauphine et grand d’Espagne, chevalier de l’ordre de la Toison d’or, officier général de Louis XIV et diplomate sous la Régence.
Peintre impressionniste, graveur, sculpteur et photographe français.
Architecte français. Élève de Charles Percier, il remporta le second prix de Rome en 1823.
Marchand et sinologue français. Fils de l’académicien et sinologue Joseph de Guignes, il fut l’interprète de l’ambassadeur néerlandais Isaac Titsingh à la cour de Qianlong en 1794 et 1795. Il est l’auteur d’un dictionnaire de chinois, français et latin.
Princesse de Bourgogne, fille de France, infante d’Espagne et duchesse de Savoie. Tante de l’empereur Charles Quint, elle assura pour lui la régence des Pays-Bas
Écrivain, journaliste, juriste, politologue et économiste français.
Chimiste français. Auteur d’un Mémoire sur les couleurs inaltérables pour la teinture (1814) et directeur de la Manufacture de tapisserie des Gobelins.
Comtesse de Flandre, d’Artois et de Bourgogne, duchesse de Bourgogne. Elle fut, notamment, la mère de Jean Ier de Bourgogne dit Jean sans Peur.
Marie de Médicis fut reine de France et de Navarre de 1600 à 1610, par son mariage avec Henri IV. Veuve en 1610, elle assura la régence au nom de son fils, Louis XIII, jusqu’en 1614. Elle était la fille de François Ier de Médicis et de Jeanne d’Autriche.
Brillant militaire français. Fidèle de Mazarin, il fut fait maréchal de France le .
Aristocrate et militaire français. Il fut lieutenant-général de Provence et épousa Françoise de Sévigné, fille de la Madame de Sévigné.
Féministe suisse, elle s’est particulièrement investie dans les questions de droit des prostituées, et fonda, en 1879, avec Maria Deraismes, l’Association française pour l’abolition de la prostitution règlementée.
Prêtre catholique français dit l’abbé de Nantes. Traditionaliste, il est le fondateur de la Ligue de la Contre-Réforme catholique.
Diplomate et secrétaire d’État, il négocie avec les protestants les édits de pacification de Bergerac (1577) et de Fleix (1580). Destitué par Henri III (1588), il adhére à la Ligue en 1589. Il se rallie à Henri IV (1593), qui le rétablit dans sa charge de secrétaire d’État.
Seigneur de Saint-Vallier, de Cotonne, de Vielprat et d’Arlempdes, vicomte d’Etoile, baron de Chalencon, de Clérieu, de Sérignan, de Florac, de Privas et de Chevrières.
Homme d’église français, évêque de Rodez, de 1823 à 1830.
Militaire et homme politique français.
Aristocrate française. Fille de Charles-Amédée de Savoie, duc de Genève, de Nemours et d’Aumale et arrière-petite-fille du roi Henri IV, elle fut régente du duché de Savoie pour son fils Victor-Amédée II.
Aristocrate et militaire français. Il est le fils de Madame de Sévigné.
Aristocrate française. Comtesse de Grignan, elle était la fille de Madame de Sévigné, dont elle sera la célèbre correspondante.
Réalisateur, metteur en scène et acteur italien. Il est détenteur de quatre Oscar du meilleur film étranger, pour Sciuscià, Le Voleur de bicyclette, Hier, aujourd’hui et demain et Le Jardin des Finzi-Contini. Il obtint le Grand prix du Festival de Cannes 1951 pour Miracle à Milan.
Peintre et sculpteur, élève de Gros ; auteur des statues pour les fontaines des places de la Concorde et de Saint-Michel.
Erudit, agronome, secrétaire de la Société des Sciences et des Arts de Montauban ; il était également peintre et ami d’Ingres (qui fit son portrait).
Pédopsychiatre et écrivain, grand amateur d’art et de littérature, fondateur du « Groupe » qui, dans les années 60, réunissait des écrivains et des artistes autour d’un sujet.
Homme politique, premier ministre du général de Gaulle (1959-1962), père de la Ve République.
Pédiatre français, fondateur de la clinique des Enfants-Malades.
Naturaliste. Il dirige la chaire de Culture au Muséum d’Histoire Naturelle, de 1850 à 1882.
Ministre de l’Intérieur (1819) puis président du Conseil, fondateur des forges de Decazeville. Favori de Louis XVIII, il est député puis Ministre de la Police. Soupçonné de complicité dans l’assassinat du duc de Berry, il démissionne et est nommé ambassadeur à Londres.
Engagé à la Comédie Française après la révolution de juillet, il combat avec les patriotes belges. Il compose, à l’heure du bivouac, les couplets de la Brabançonne, futur chant national belge. Il est tué peu après, au cours d’une opération défensive contre les troupes de Saxe-Weimar.
Marin, ministre de la Marine de Napoléon de 1801 à 1815.
Conventionnel girondin. Spécialiste de la Marine, il est envoyé en Bretagne pour signer le traité qui met fin provisoirement à la chouannerie bretonne. Il est élu au Comité de Salut public en 1795, chargé de la Marine et des Colonies.