
Nicolas Des Marets
Financier, contrôleur général des Finances de Louis XIV.
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Financier, contrôleur général des Finances de Louis XIV.

Évêque de Rennes (1761-1770), puis de Verdun et abbé de Redon.

Général de la Révolution, tué à Marengo, il s’est illustré en Egypte.

Chirurgien, il fonde la première clinique chirurgicale en France. Il est accusé à tort d’avoir hâté la mort de Louis XVII.

Peintre et chiromancien. Son ouvrage, Les Mystères de la main révélés et expliqués (1859), connaît un succès considérable, avec 13 éditions.

Poétesse romantique ; elle eut une profonde influence sur Verlaine.

Peintre, graveur et écrivain, il est proche des Impressionnistes et participe à leur 2e exposition. Il participe aussi à la fondation de la deuxième Société nationale des Beaux-Arts.

Écrivain, fils de Lucien Descaves, co-fondateur de l’Académie Goncourt. Il est également Président de la Société des Gens de Lettres et administrateur général de la Comédie Française.

Poète, l’un des plus fervents représentants du mouvement romantique ; il avait fondé avec Victor Hugo, en 1824, la Muse française qui accueillit les vers des Vigny et Nodier.

Évêque de Namur puis archevêque de Malines en 1867, il est fait cardinal en 1875. Il est également théologien.

Président de la République (18 février-20 septembre 1920).

Ecrivain et homme politique, biographe, professeur de littérature moderne au Collège de France ; il est le père du président de la République, Paul Deschanel.

Directeur des forges du Creusot, administrateur de Decazeville, il fut également ministre des Travaux publics, maire du Creusot et député de l’Aveyron.

Botaniste. Chargé de la botanique du Museum au Museum d’Histoire Naturelle, de 1793 à 1833.

Auteur dramatique fécond, il était censeur royal et bibliothécaire de Monsieur, avant la Révolution.

Médecin militaire, de l’Académie des sciences. Médecin en chef de l’armée d’Egypte, il ranima, par un geste héroïque, la confiance des soldats, en s’inoculant le pus d’un bouton pesteux.

Jésuite, il enseigne l’histoire de l’Eglise à Vals. Auteur de nombreux ouvrages ecclésiastiques.

Littérateur, auteur de relations de voyages en Europe, et grand maître des Eaux et forêts.

Homme d’État français, contrôleur général des finances de Louis XIV.

Oculiste et ophtalmologiste, il est le premier à pratiquer l’iridectomie.

Magistrat et écrivain, auteur d’ouvrages sur la Picardie.

Botaniste lillois, collaborateur du Bulletin de la Société botanique de France, auteurs de travaux sur les plantes cryptogames.

Poète surréaliste ; arrêté par la Gestapo, il est déporté en camp de concentration.

Modèle et muse de Foujita à Montparnasse, puis épouse de Robert Desnos qu’elle avait rencontré en 1928. Née Lucie Dadoud, Foujita la surnomme Youki « neige rose » en japonais.

Evêque de Saint-Denis de la Réunion (1850-1857), puis de Limoges (1857-1859) et archevêque de Toulouse (1859-1895), il est créé cardinal en 1879.

Il célèbre les grands événements de l’histoire militaire de la France : sortie de la garnison de Huningue et Barbanègre, entre autres. Une de ses réalisations majeures : La Chevauchée de la Gloire (1905) destinée à l’abside du Panthéon.

Compositeur autrichien de musique sérielle, chef d’orchestre, élève et assistant de Schönberg, ami de Berg, Webern, Tzara et Cocteau.

Publiciste et conseiller d’Etat, il tenait un salon littéraire réputé à la fin du XVIIIe. Elu à l’Académie française en 1803, il meurt deux mois plus tard. On ne connait pas sa date de naissance.

Consul de France en Algérie (1819-1832), puis à Tunis (1832-1836), Alep (1836) et Beyrouth (1837 à sa mort).

Archéologue, il s’intéresse beaucoup à l’Histoire et au patrimoine de La Ferté-Milon, qui vit naître Jean Racine. Il est notamment l’auteur des Notes sur les vitraux des églises Saint-Nicolas et Notre-Dame de La Ferté-Milon (1913).

Historien et archiviste belge, membre de la Commission royale d’histoire et premier président du Cercle archéologique de Mons.

Elu à la Législative puis à la Convention (Ain) dans les rangs des Montagnards régicides, il devient conseiller à la cour impériale de Lyon (1811) d’où il est révoqué à la Restauration.