Alexandre Bourjot Saint-Hilaire
Naturaliste, auteur de l’Histoire naturelle de perroquets, ouvrage somptueux qui fait suite aux deux volumes de Levaillant. Il était le gendre d’Etienne Geoffroy Saint-Hilaire dont il prit une partie du nom.
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Naturaliste, auteur de l’Histoire naturelle de perroquets, ouvrage somptueux qui fait suite aux deux volumes de Levaillant. Il était le gendre d’Etienne Geoffroy Saint-Hilaire dont il prit une partie du nom.
Conventionnel girondin et directeur de théâtres, il constitua une riche collection de tableaux et de plantes exotiques.
Chimiste et agronome, membre de l’Académie des sciences (1839), député du Haut-Rhin (1848), il est l’un des fondateurs de l’Institut national agronomique.
Philosophe, écrivain polémiste, monarchiste, il poursuit l’oeuvre de Maurras dans Aspects de la France puis la Nation Française, revue qu’il fonde en 1955.
Bibliothécaire et historien de la littérature français. Il était membre de l’Institut.
Peintre et illustrateur de livres d’enfants.
Economiste russe, auteur d’un « Essai sur la richesse nationale et les principes d’économie politique » dans lequel il développe les théories de Smith et Rossi appliquées à son pays.
Comédien et metteur en scène français, sociétaire de la Comédie-Française.
Architecte néerlandais, naturalisé français.
le plus grand collectionneur d’autographes de son temps.
Général anglais, gouverneur de Gibraltar (1776-1777, puis 1790-1794).
Homme d’église français. Ancien évêque de Mirepoix, il fut un adversaire acharné des jansénistes et des Philosophes.
Homme de lettres et librettiste. Auteur de romances, dont les plus célèbres sont mises en musique par Massenet. Secrétaire général de l’Opéra et rédacteur en chef du Petit journal illustré.
Homme politique français. Député à la Convention, il vota la mort de Louis XVI et fut lui-même guillotiné.
Physicien britannique, membre de la Royal Society, il fit d’importants travaux expérimentaux et calcula la constante gravitationnelle avec une grande précision.
Graveur et peintre, ami de Baudelaire, Th. Gautier, Champfleury et des Goncourt.
Maréchal de France (1740) ; il fut aussi ambassadeur de France en Espagne et gouverneur de Bretagne.
Homme de lettres, frère d’Anna de Noailles, député au parlement roumain, fondateur de la revue La Renaissance Latine.
Historien de l’art, critique d’art et écrivain italien. Il publia un important manifeste sur la restauration des œuvres d’art.
Inventeur du radio-conducteur qui permit la mise au point de la T.S.F. Membre de l’Académie des sciences (1911), il obtient, avec Curie, le prix Osiris, en 1903.
Écrivain, militaire et courtisan, auteur de La Vie des hommes illustres.
Écrivain, rédacteur en chef de « Je suis partout » (1937-1943), il milite en faveur de la collaboration. Condamné à mort et fusillé à la Libération.
Conventionnel de Charente Inférieure, il vota la mort du roi, présida la Convention et fut membre du premier Comité de Salut Public.