Comte de Toulouse, fils naturel de Louis XIV et de madame de Montespan.

Gouverneur et lieutenant général de Bretagne. Amiral. Chevalier de la Toison d’Or. Grand veneur.

Archiduchesse d’Autriche, épouse de l’archiduc Charles Louis d’Autriche, morte à 28 ans.

Princesse du sang, abbesse de Remiremont. Elle fonda la communauté des Bénédictines de la rue Monsieur.

Sculpteur.

Ministre de la Marine et des Colonies au début du Consulat (juillet – novembre 1799), il entame ensuite une carrière de préfet.

Avocat au parlement de Paris, il a publié, en 1724, le Nouveau coutumier général en 8 volumes in-folio.

Compositeur et chef d’orchestre, prix de Rome (1862), il consacre son existence à faire renaître et reconnaître les musiques folkloriques de toutes les régions d’Europe.

Préhistorien et géologue, il émit, le premier, l’hypothèque de l’homme tertiaire. En 1867, il annonce au congrès d’anthropologie et d’archéologique préhistorique, la découverte de silex portant les marques d’un travail humain dans les terrains miocènes de Thenay, ce qui suscita une vive polémique. Il exposa ses thèses dans La question de l’homme tertiaire. Il avait formé une riche collection d’instruments préhistoriques.

Sculpteur.

Homme politique. Président du parti radical socialiste (1961-1965), ministre des Affaires étrangères, puis ministre de l’Intérieur.

Ecrivain, il prône le retour à la monarchie traditionnelle. Académicien (1894).

Écrivain, prix Interallié (1933) et grand prix du roman de l’AF (1941).

Naturaliste, auteur de l’Histoire naturelle de perroquets, ouvrage somptueux qui fait suite aux deux volumes de Levaillant. Il était le gendre d’Etienne Geoffroy Saint-Hilaire dont il prit une partie du nom.

Conventionnel girondin et directeur de théâtres, il constitua une riche collection de tableaux et de plantes exotiques.

Chimiste et agronome, membre de l’Académie des sciences (1839), député du Haut-Rhin (1848), il est l’un des fondateurs de l’Institut national agronomique.

Philosophe, écrivain polémiste, monarchiste, il poursuit l’oeuvre de Maurras dans Aspects de la France puis la Nation Française, revue qu’il fonde en 1955.

Bibliothécaire et historien de la littérature français. Il était membre de l’Institut.

Graveur, lithographe et pastelliste.

Peintre et illustrateur de livres d’enfants.

Artiste peintre.

Economiste russe, auteur d’un « Essai sur la richesse nationale et les principes d’économie politique » dans lequel il développe les théories de Smith et Rossi appliquées à son pays.

Comédien et metteur en scène français, sociétaire de la Comédie-Française.

Evêque du Mans (1833-1854).

Architecte néerlandais, naturalisé français.

Écrivain, précurseur du Nouveau roman.

le plus grand collectionneur d’autographes de son temps.

Sculpteur et graveur suisse.

Général anglais, gouverneur de Gibraltar (1776-1777, puis 1790-1794).

Homme d’église français. Ancien évêque de Mirepoix, il fut un adversaire acharné des jansénistes et des Philosophes.

Homme de lettres et librettiste. Auteur de romances, dont les plus célèbres sont mises en musique par Massenet. Secrétaire général de l’Opéra et rédacteur en chef du Petit journal illustré.

Chanteuse, interprète de « Parlez-moi d’amour ».

Homme politique français. Député à la Convention, il vota la mort de Louis XVI et fut lui-même guillotiné.

Physicien britannique, membre de la Royal Society, il fit d’importants travaux expérimentaux et calcula la constante gravitationnelle avec une grande précision.

Médecin et chimiste français.

Graveur et peintre, ami de Baudelaire, Th. Gautier, Champfleury et des Goncourt.

Peintre et graveur belge.

Peintre de genre post-impressionniste anglais.

Peintre italien.

Maréchal de France (1740) ; il fut aussi ambassadeur de France en Espagne et gouverneur de Bretagne.