Journaliste, écrivain et critique français ; il fut un directeur fameux du Figaro.

Compositeur et chef d’orchestre britannique.

Chirurgien et anthropologiste, fondateur de l’école d’anthropologie. Il découvre le centre de la parole, plus connu sous le nom de « l’aire de Broca. »

Général d’aviation français. Il commanda l’Escadrille des Cigognes et y recruta entre autres Georges Guynemer.

Espion et diplomate, fils du Maréchal de Broglie, il est d’abord ambassadeur extraordinaire auprès du roi de Pologne, Auguste III. Chevalier des Ordres du Roi et colonel, il est chef du Secret du Roi sous Louis XV.

Homme politique. Académicien (1855).

Physicien, auteur d’importants travaux sur les rayons X. Membre de l’Académie des sciences (1924) et de l’Académie française (1934).

Maréchal de France (1759) ; il émigre dès juillet 1789.

Fils du duc Victor de Broglie. Historien et homme d’Etat. Académicien (1862).

Physicien atomiste, fondateur de la mécanique ondulatoire. Prix Nobel (1929), académicien (1944).

Minéralogiste et géologue. Directeur de la manufacture de Sèvres, de 1800 à sa mort. Collaborateur de Cuvier, membre de l’Académie des Sciences et fondateur de la méthode en géologie.

Architecte néo-classique, auteur de nombreux bâtiments parisiens, dont le palais de la Bourse dit Palais Brongniart.

Chimiste français, professeur au Muséum d’Histoire naturelle.

Premier apothicaire du roi Louis XVI, pharmacien militaire puis professeur de chimie au collège de Pharmacie et au Jardin des Plantes. Il fut également directeur de la manufacture de Sèvres. Frère de l’architecte Alexandre-Théodore Brongniart, il était également l’oncle d’Alexandre Brongniart, le minéralogiste.

Botaniste, président de l’Académie des sciences, fondateur de la paléontologie végétale.

Entomologiste et paléontologue français.

« Rajah blanc » de Sarawak (Indonésie), succédant à son oncle James Brooke (1868) ; sous son autorité la piraterie et d’esclavage sont supprimés.

Actrice américaine, l’inoubliable « Loulou » de Pabst.

Premier archevêque de Rennes (1859) et cardinal (1878).

Avocat et homme de lettres, ami de Boileau, échevin de Lyon (1720), il est l’un des fondateurs de l’Académie de Lyon.

Héros de la Résistance, il se suicide dans les locaux de la Gestapo.

Médecin français, spécialiste de médecine légale. Doyen de la Faculté de médecine de Paris, membre de l’Académie de médecine et de l’Académie des sciences.

Médecin et chirurgien, il définit une nouvelle doctrine médicale, la médecine physiologique.

Éminent physiologiste et neurologue français, président de la Société de biologie. Il réalisa d’importants travaux sur la mœlle épinière et ses maladies, entre autres. Ses essais sont le point de départ de l’organothérapie et de l’opothérapie.

Chansonnier, l’un des grands poètes de l’argot.

Amiral, gouverneur des îles Marquises puis des Etablissements français de l’Océanie (1843), il fit reconnaître le protectorat français sur Tahiti.

Pianiste de jazz et compositeur américain.

Compositeur allemand.

Officier au service des princes émigrés, aide de camp du comte d’Artois, il avait participé à la Guerre d’Indépendance américaine.

Peintre de paysages du Dauphiné et des Alpes.

Philologue, auteur de l’Anthologie grecque.

Peintre de paysages. Marié à l’artiste peintre Aimée Pagès.

Compositeur, membre de l’Académie des Beaux-arts.

Linguiste et philologue, il a repris l’Histoire de la langue française de Ferdinand Brunot, à la mort de ce dernier.

Romancier et critique littéraire.

Comédien comique, très renommé, sous la Révolution et l’Empire, pour ses mimiques. Surnommé « le roi des Jocrisse et des Cadet-Roussel ».

Peintre et aquafortiste normand.

Critique littéraire, antidreyfusard, directeur de la Revue des Deux Mondes, membre de l’Académie française (1893).

Peintre de fleurs et de paysages.

Prince et général allemand, l’un des plus éclairés de son temps ; commandant l’armée prussienne, il est mortellement blessé au combat d’Auerstaedt, en 1806.