
Alfred Boucher
Sculpteur, il fut le professeur de Camille Claudel et fonda la cité d’artistes La Ruche.
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Sculpteur, il fut le professeur de Camille Claudel et fonda la cité d’artistes La Ruche.
Historien, il est spécialiste de Jeanne d’Arc. Il est membre du Comité des travaux historiques et scientifiques et Président de la Société archéologique et historique de l’Orléanais.
Premier graveur du roi (1825), membre de l’Institut.
Peintre, artiste fécond dans des genres très divers (portraits, scènes militaires, paysages orientaux, peinture décorative), il est aussi l’auteur d’ouvrages descriptifs.
Ministre de la Guerre sous la Révolution (avril 1793 – avril 1794).
Romancier, il utilise une langue drue, nourrie de l’argot et du langage populaire.
Chanteur d’opéra (basse), il créa le grand-prêtre dans Aïda.
Vice-amiral, explorateur du Sénégal dont il devint gouverneur.
Poète, membre de l’Académie française (1788). Il faut aussi maître de camp des armées du roi, et gouverneur du Sénégal.
Homme de lettres français, frère aîné de l’explorateur Louis Antoine de Bougainville.
Navigateur, fils de Louis-Antoine, il participe à l’expédition Baudin aux Terres australes, puis dirige un voyage autour du monde sur la corvette la Thétis (1822-1826).
Magistrat. Académicien (1727). Sa bibliothèque, renommée dans toute l’Europe, sera vendue à l’abbaye de Clairvaux.
Lieutenant-général, gouverneur de la Guadeloupe (1768), gouverneur général des Îles-sous-le-Vent (1777), il organisa la fuite de Louis XVI et de la famille royale.
Chimiste, pharmacien de Napoléon et médecin de l’Impératrice Joséphine, il fut le premier à préconiser l’essai chimique des médicaments.
Compositrice, premier grand prix de Rome (1913). Soeur cadette de Nadia Boulanger, elle est morte à 24 ans.
Général. Commandant du corps d’occupation en Tunisie, puis ministre de la Guerre. Il donne son nom au boulangisme.
Bibliophile, il a formé une bibliothèque de plus de 300.000 ouvrages ; exécuteur testamentaire de La Harpe, rédacteur du Journal de la Librairie et des Arts, auteur de nombreuses traductions.
Romancier, auteur de supercheries littéraires, il était également un escrimeur de haut niveau, remportant une médaille de bronze aux jeux olympiques de 1900.
Vétérinaire français. Il fut professeur de clinique vétérinaire à l’École nationale vétérinaire d’Alfort, il fut également un fervent défenseur des découvertes et théories de Louis Pasteur.
Compositeur et chef d’orchestre français. Fondateur et directeur de l’Institut de recherche et coordination acoustique/musique (IRCAM) et de l’Ensemble intercontemporain.
Contrôleur général des Finances de Louis XV (1757-1759).
Prince de sang, archevêque de Rouen, l’une des plus grandes fortunes d’Europe, considéré comme l’héritier du trône de France par les Ligueurs (le duc de Mayenne le proclama roi de France, en 1589, sous le nom de Charles X, après l’assassinat d’Henri III).
Prince du sang de la maison capétienne de Bourbon, membre de la branche cadette de Bourbon-Vendôme. Duc de Vendôme, premier prince du sang et roi de Navarre par son mariage avec Jeanne d’Albret, sa vie est marquée par son oscillation entre le catholicisme et le protestantisme.
Henri II de Bourbon, IIIe prince de Condé, est un prince de sang français, fervent opposant à la régente Marie de Médicis. Il fut gouverneur de Bourgogne et du Berry, duc de Montmorency, duc d’Albret, duc d’Enghien, et de Bellegarde, premier prince du sang et comte de Sancerre. Il est le père du « Grand Condé ».
Comte de Toulouse, fils naturel de Louis XIV et de madame de Montespan.
Gouverneur et lieutenant général de Bretagne. Amiral. Chevalier de la Toison d’Or. Grand veneur.
Archiduchesse d’Autriche, épouse de l’archiduc Charles Louis d’Autriche, morte à 28 ans.
Ministre de la Marine et des Colonies au début du Consulat (juillet – novembre 1799), il entame ensuite une carrière de préfet.
Avocat au parlement de Paris, il a publié, en 1724, le Nouveau coutumier général en 8 volumes in-folio.
Compositeur et chef d’orchestre, prix de Rome (1862), il consacre son existence à faire renaître et reconnaître les musiques folkloriques de toutes les régions d’Europe.
Préhistorien et géologue, il émit, le premier, l’hypothèque de l’homme tertiaire. En 1867, il annonce au congrès d’anthropologie et d’archéologique préhistorique, la découverte de silex portant les marques d’un travail humain dans les terrains miocènes de Thenay, ce qui suscita une vive polémique. Il exposa ses thèses dans La question de l’homme tertiaire. Il avait formé une riche collection d’instruments préhistoriques.
Homme politique. Président du parti radical socialiste (1961-1965), ministre des Affaires étrangères, puis ministre de l’Intérieur.
Ecrivain, il prône le retour à la monarchie traditionnelle. Académicien (1894).
Écrivain, prix Interallié (1933) et grand prix du roman de l’AF (1941).
Naturaliste, auteur de l’Histoire naturelle de perroquets, ouvrage somptueux qui fait suite aux deux volumes de Levaillant. Il était le gendre d’Etienne Geoffroy Saint-Hilaire dont il prit une partie du nom.
Conventionnel girondin et directeur de théâtres, il constitua une riche collection de tableaux et de plantes exotiques.
Chimiste et agronome, membre de l’Académie des sciences (1839), député du Haut-Rhin (1848), il est l’un des fondateurs de l’Institut national agronomique.