Chancelier de France en 1814, président de la chambre des Pairs et Garde des Sceaux à la Restauration.

Après le 18 brumaire, il s’attache à la fortune de Napoléon et devient membre du Tribunat, intendant général de la Grande Armée, ministre et secrétaire d’Etat (1811). Membre de l’Académie française (1806).

Financier et royaliste français, député à l’Assemblée constituante.

Diplomate et secrétaire d’État, il négocie avec les protestants les édits de pacification de Bergerac (1577) et de Fleix (1580). Destitué par Henri III (1588), il adhére à la Ligue en 1589. Il se rallie à Henri IV (1593), qui le rétablit dans sa charge de secrétaire d’État.

Homme politique, premier ministre du général de Gaulle (1959-1962), père de la Ve République.

Ministre de l’Intérieur (1819) puis président du Conseil, fondateur des forges de Decazeville. Favori de Louis XVIII, il est député puis Ministre de la Police. Soupçonné de complicité dans l’assassinat du duc de Berry, il démissionne et est nommé ambassadeur à Londres.

Marin, ministre de la Marine de Napoléon de 1801 à 1815.

Conventionnel girondin. Spécialiste de la Marine, il est envoyé en Bretagne pour signer le traité qui met fin provisoirement à la chouannerie bretonne. Il est élu au Comité de Salut public en 1795, chargé de la Marine et des Colonies.

Magistrat et député d’extrême-gauche, ami de Clemenceau et Gambetta.

Député de l’Ariège sous la IIIe République, ministre à plusieurs reprises (Affaires Etrangères, Guerre, Marine, etc.), il est l’un des artisans du rapprochement de la France et de la Grande-Bretagne qui aboutit à la signature de l’Entente cordiale.