Microbiologiste, directeur de l’Institut Pasteur de Tunis (1903-1936), lauréat du prix Nobel de Médecine en 1928.

Éditeur français d’origine danoise, créateur de la maison d’édition des Presses de la Cité et ami de Georges Simenon.

Sculpteur français. Napoléon III créa pour lui la place de surintendant des Beaux-Arts.

Romancière et femme de théâtre.

Écrivain, chef de fil des Hussards, mort prématurément d’un accident de la route.

Femme de lettres et diariste américaine, auteur d’ouvrages érotiques, elle entretient une liaison passionnée avec Henry Miller.

Homme politique, écrivain et critique littéraire français.

Généralissime et commandant en chef les armées françaises durant la première guerre mondiale, il succède à Pétain à Verdun. Il est disgracié après l’échec de la bataille du Chemin des Dames.

Acteur britannique.

Homme de lettres et diplomate, ambassadeur à Rome, Berlin et Londres, membre de l’Académie française à 27 ans ; il fut le dernier duc de Nevers.

Aide de camp du Comte d’Artois, il combat sous l’Empire dans les rangs des armées étrangères ; député sous la Restauration.

Poétesse et romancière.

Maréchal de France.

Historien et orateur parlementaire, membre de l’Académie française (1849).

Diplomate et homme politique, le marquis de Noailles représenta la France aux États-Unis en 1872 avant d’être nommé ambassadeur en Italie en 1873, puis auprès de l’Empire ottoman entre 1882 et 1886, puis en Allemagne entre 1896 et 1902.

Ingénieur aéronautique et explorateur italien.

Ecrivain et littérateur, de l’Académie française (1833). Il réunit, lors de ses soirées demeurées célèbres, toute la jeune école romantique.

Fille de l’écrivain et académicien Charles Nodier. Muse du Cenacle de l’Arsenal, lieu de rendez-vous dominical des Romantiques, tenu par son père.

Réalisateur et producteur de cinéma français.

Poétesse française.

Peintre et dessinateur, il se spécialise dans la gravure, notamment de portraits. Il est chevalier de la Légion d’Honneur.

Sculpteur, premier grand prix de Rome (1868) ; il a sculpté le fronton du Grand-Palais.

Écrivain, franc-maçon, censeur dramatique sous l’Empire.

Parolier et animateur, il est surtout connu comme le parolier de Mireille.

Botaniste, jardinier et rosiériste français. Il créa la rose Noisette, qui lui donna une notoriété dans toute l’Europe.

Historien et poète, directeur de l’Ecole française de Rome, il a laissé une oeuvre abondante principalement consacrée à l’humanisme pendant la Renaissance.

Historien français, membre de l’Académie française.

Philosophe et médecin israélite, co-fondateur de l’Organisation sioniste mondiale.

Ecrivain, poète, dramaturge et essayiste, il fut également avocat et archiviste-paléographe. Il est vice-président de la Société des gens de lettres au sein de laquelle il a fondé un Prix qui porte son nom.

Poète, peintre et dessinateur français. Japonophile depuis son enfance (sa mère possédait une collection de Hiroshima), il vivra une grande partie de sa vie au Japon et y dessina nombre d’illustrations célèbres. Nouët fut également le tuteur français de l’empereur Akihito, en 1951.

Poète, auteur, compositeur et interprète français.

Danseur étoile, l’un des plus grands danseurs classiques du XXe siècle.

Écrivain, prix Femina (1965), il fut, pendant trente ans, membre de l’Académie Goncourt.

Célèbre ténor, il créa tous les rôles importants de son époque ; mais devenu paranoïaque, il se défenestre après une réception en son honneur.

Soprano anglaise, grande amie de Rossini pour qui elle créa plusieurs rôles, engagée par Mendelssohn pour les concerts du Gewandhaus, elle fut aussi remarquée par Schumann qui intitula « Novelette » certaines de ses pièces.

Homme politique irlandais, également poète. Il a été, entre autres, Lord of the Treasury.

Aviateur, as de la première guerre mondiale, il disparut avec François Coli lors d’une tentative de traversée Paris-New York sans escale à bord de L’Oiseau blanc.

Médecin, physiologiste et pédiatre belge. Il rédigea avec Capuron, le célèbre Dictionnaire de Médecine, de chirurgie, de pharmacie, des sciences accessoires.

Général de division, commandant la division d’Oran (1901-1903).

Entomologiste amateur, fils de l’imprimeur François-Charles Oberthür et frère de l’entomologiste René Oberthür.