
Jean-Baptiste Biot
Physicien. Membre de l’Académie des Sciences (1803) et membre de l’Académie française (1856).
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Physicien. Membre de l’Académie des Sciences (1803) et membre de l’Académie française (1856).

Abbé commendataire de l’abbaye royale Saint-Pierre de Moissac, de 1722 à 1775.

Lieutenant général des armées du Roi (1762), membre de l’Académie française (1750).

Écrivain et dramaturge norvégien, prix Nobel de littérature en 1903. Auteur des paroles de l’hymne national norvégien, « Ja, vi elsker dette landes », il est considéré comme l’un des quatre plus grands écrivains norvégiens, avec Henrik Ibsen, Jonas Lie et Alexander Kielland.

Astronaute américain. Il prit notamment part au vol de la station spatiale Mir.

Journaliste et historien français, membre du gouvernement provisoire de 1848 et député sous la Troisième République. Exilé à Londres à la suite des évènements de 1848, il restera hors de l’hexagone durant vingt ans puis siégera à l’Assemblée nationale en 1871, à l’extrême gauche.

Conservateur du Musée cantonal de zoologie de Lausanne et enseignant vaudois.

Général de l’Empire, commandant en second le camp de Compiègne formé pour l’instruction du duc d’Orléans.

Naturaliste et entomologiste français, membre du Muséum (chaire d’histoire naturelle des Crustacés, des Arachnides et des Insectes).

Psychiatre et aliéniste français, médécin de Gérard de Nerval et Maupassant.

Portraitiste et peintre de la Belle-Epoque, ami des écrivains et artistes, en particulier des Surréalistes. Membre de l’Ac. des Beaux-arts.

Théoricien communiste et révolutionnaire, fondateur du journal Ni Dieu Ni Maître.

Frère aîné d’Auguste Blanqui, il est économiste, titulaire d’une chaire au Conservatoire des arts et métiers puis directeur de l’Ecole spéciale du commerce et de l’industrie. Il fut également député, favorable à Louis-Philippe.

Écrivain et journaliste espagnol, l’un des plus grands romanciers de langue espagnole.

Aviateur français. Il fut le premier à traverser la Manche, en juillet 1909.

Poète, dramaturge et historien, il est également censeur royal, conservateur de la Bibliothèque de l’Arsenal et fondateur de la Société philanthropique.

Acteur et metteur en scène français, sociétaire de la Comédie-Française.

Officier de marine et écrivain, journaliste à Candide et Je suis partout avec Brasillach, durant l’occupation.

Ingénieur, inventeur de l’oscillographe en 1893, il a, le premier, expliqué mathématiquement l’effet de l’inertie dans la mise en marche des alternateurs. Membre de l’Académie des sciences (1913).

Ecrivain, auteur d’un Singe en Hiver, chroniqueur passionné du Tour de France.

Ecrivain acerbe, au style très vigoureux, ami de Barbey d’Aurevilly.

Elu député de la Seine en 1919, il devient l’un des principaux leaders du parti socialiste (SFIO). Président du Conseil en 1936, déporté pendant la Seconde guerre mondiale et élu président du gouvernement provisoire de décembre 1946 à janvier 1947.

Musicien français. Il fut harpiste, compositeur, professeur, chef d’orchestre, directeur de théâtre, etc. Il vécut principalement à l’étranger.

Médecin et botaniste français. Élève de Jussieu, il est l’auteur de travaux de botanique médicale, en particulier sur la substitution de plantes indigènes aux plantes exotiques.

Romancier, un des pionniers du roman d’anticipation, auteur de la Guerre du feu.

Philanthrope protestante, directrice de l’Oeuvre des libérées de Saint-Lazare.

Intendant des finances, chambellan et secrétaire de François 1er, il fit bâtir le château de Chenonceau.

Traducteur, poète, contrôleur de l’argenterie du Roi et membre de l’Académie française. Mort à trente-huit ans, il était le frère aîné de Nicolas Boileau-Despréaux.

Homme d’Église et prédicateur français. Abbé de Beaulieu, il fut reçu à l’Académie française par Tourreil le 19 août 1694.