Érudit et noble italien, ancêtre de Napoléon Ier. Il fut docteur en droit à l’université de Pise (1712), membre du chapitre des Chanoines de San Miniato, puis sous-diacre apostolique, vicaire et enfin évêque de la cathédrale de San Miniato, de 1720 à 1734. En 1727, le grand-duc Gian Gastone de Medici le choisit comme évêque de Montepulciano, mais il déclina. Grand ami de Giusto Fontanini, il fit également parti de la cour du cardinal Impériali, à Rome.

Evêque de Soissons (1847-1860).

Evêque de Grenoble (1727-1771).

Homme d’Église français, janséniste, évêque d’Auxerre de 1704 à 1754.

Jésuite, membre de l’Assemblée législative (1791), auteur d’un Mémoire pour le peuple français (1788) qui eut à peu près autant de succès que l’écrit de Sieyès, Qu’est-ce que le Tiers Etat. Grand ami de Mirabeau, il prononça son éloge funèbre.

Formé au Séminaire des Missions étrangères de Paris, il est ordonné prêtre en 1899 et devient bientôt le curé de Hakodate (Japon). Fait évêque de Tokyo en 1927 par Pie XI, il prend poste à Yokohama dix ans plus tard.

Homme d’Église français, évêque de Dol et de Senlis. Il fut élu membre de l’Académie française, le 5 janvier 1702

Evêque d’Isionda et auxiliaire de l’archevêque de Paris (1922), il est chargé de fonder et de diriger une administration dociésaine des étrangers ; à ce titre, il crée de nombreuses oeuvres de charité en faveur des immigrés et des réfugiés.

Missionnaire, il est envoyé dans les Indes Orientales (1830), sacré évêque de Jassen (1845), puis devient le premier vicaire apostolique de Maïssour, en Hindoustan (1850). Il est l’auteur d’un dictionnaire latin-kanara.

Premier évêque de Versailles (1802-1827).