Inspecteur des Beaux-Arts, il est surtout connu pour ses travaux de critique d’art, et sa défense de Degas, Gauguin, Puvis de Chavannes ou encore Renoir.

Poète bourguignon, il est le fondateur dans les années 1920 de l’École gallicane dont le but est de revivifier les formes poétiques médiévales. Il est décoré de la Légion d’Honneur et membre de l’Académie Mallarmé.

Egyptologue.

Compositeur.

Maréchal de France.

Compositeur français.

Philologue, voyageur et diplomate, spécialiste des Balkans.

Comédienne, morte en asile psychiatrique ; c’est elle qui créa le rôle de Nana (1881).

Critique littéraire. Académicien (1960).

Journaliste, écrivain et peintre français.

Historien spécialiste de Napoléon. Membre de l’Académie française (1903).

Graveur, il perd ses mains dans l’explosion d’un obus en 1871 ; il travaille dès lors grâce à des prothèses. Spécialisé dans l’eau-forte, il signe à la fois des oeuvres d’invention et des réinterprétations de tableaux existants.

Génétal de l’Empire, il sert dans l’artillerie de marine

Peintre, graveur, illustrateur et décorateur de théâtre français. Il fut membre du mouvement surréaliste.

Général d’armée, compagnon de route de Leclerc, il mène la bataille d’Alger.

Comédienne française à la carrière prolixe.

Poète et humaniste anglais, membre du Trinity College, bibliothécaire à Buckingham Palace. Il vécut à Naples, où il publia des essais et des traductions de poètes anglais.

Peintre, considéré comme un des pères de l’abstraction lyrique. Il est également célèbre pour sa pièce de dix francs de 1974, son logotype d’Antenne 2 de 1975, et ses timbres-poste.

Evêque de Langres (1832), archevêque de Besançon (1834) puis cardinal (1850).

Professeur de musique et compositeur belge.

Statuaire, il a sculpté le buste de nombreuses personnalités de son époque.

Historien français, spécialiste de la Révolution française.

Peintre français, chef de file du fauvisme.

Peintre de paysages et de portraits. Elève de Huvé. Il signe, entre autres, le plafond de la salle d’Auguste, au Louvre.

Cardinal italien, il signa avec Bonaparte le traité de Tolentino mais, refusant d’assister à son mariage avec Marie-Louise, il fut exilé à Rethel.

Poète, romancier et critique, disciple de Mallarmé.

Peintre, graveur et lithographe français.

Critique littéraire et auteur dramatique. Académicien (1946).

Homme politique français. Avec Morny et Saint-Arnaud, il est l’un des principaux acteurs du coup d’État du 2 décembre 1851 pour le compte de Louis-Napoléon Bonaparte, futur Napoléon III.

Romancier français.

Mathématicien et astronome. Membre de l’Académie des sciences (1723) et de l’Académie française (1743).

Géophysicien, fondateur et premier directeur de l’Institut de Physique du Globe, membre de l’Académie des sciences.

Ministre de la Marine (1723-1749), il envoie des expéditions scientifiques sous l’équateur, près des pôles, et fait dresser de nouvelles cartes. Il est disgracié en 1749, puis rappelé aux affaires par Louis XVI, comme ministre d’Etat et président du Conseil des Finances.

Danseuse espagnole, modèle de Degas ; elle fit toute sa carrière à l’Opéra de Paris.

Ecrivain. Prix Nobel de littérature en 1952.

Entomologiste français, spécialisé en Coleoptera.

Peintre, médecin, journaliste, critique d’art et écrivain brésilien.

Ecrivain. Académicien (1938).

Ecrivain et journaliste monarchiste, directeur emblématique de l’Action française, avec Léon Daudet. Membre de l’Académie française (1938).

Eminent philatéliste, fondateur de la revue Le collectionneur de timbres-poste.