Charles Buloz
Il succéde à son père, François Buloz, à la tête de la Revue des Deux-Mondes, de 1877 à 1893.
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Il succéde à son père, François Buloz, à la tête de la Revue des Deux-Mondes, de 1877 à 1893.
Érudit et noble italien, ancêtre de Napoléon Ier. Il fut docteur en droit à l’université de Pise (1712), membre du chapitre des Chanoines de San Miniato, puis sous-diacre apostolique, vicaire et enfin évêque de la cathédrale de San Miniato, de 1720 à 1734. En 1727, le grand-duc Gian Gastone de Medici le choisit comme évêque de Montepulciano, mais il déclina. Grand ami de Giusto Fontanini, il fit également parti de la cour du cardinal Impériali, à Rome.
Libraire, auteur de la Bibliographie instructive.
Orientaliste, promoteur du bouddhisme, il réussit à déchiffrer la langue Zend.
Critique et écrivain d’art, grand collectionneur d’art d’Extrême-Orient.
Romancier, essayiste et poète, l’un des instigateurs du nouveau roman.
Philosophe et physiologiste, défenseur du matérialisme, membre de l’Académie française, inhumé au Panthéon.
Romancier et essayiste, prix Renaudot (1966), mainteneur de l’Académie des Jeux Floraux, membre de l’Académie française (1990).