Eugène Charles Catalan
Mathématicien. Il donne son nom aux nombres de Catalan et à la surface de Catalan.
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Mathématicien. Il donne son nom aux nombres de Catalan et à la surface de Catalan.
Général, gouverneur général de l’Indochine (1940), grand chancelier de la Légion d’honneur. Il fut l’un des principaux généraux ralliés au général de Gaulle après l’appel du 18 juin et joua un rôle prééminent dans l’action de la France libre.
Compositeur d’opéras italien ; il se fixa à Paris en 1810, puis à Londres en 1825.
Prévôt des marchands de Paris, intendant de Metz, de Flandre et d’Artois ; à Paris, il a créé le quartier entre La Madeleine et la chaussée d’Antin, dont une rue porte son nom.
Archéologue, fondateur de la Société linéenne de Normandie, de la Société des antiquaires de Normandie (1824) et de la Société Française d’Archéologie (1832).
Ecrivain de romans d’aventures écrits conjointement avec Charles Vincent, sous le pseudonyme collectif de Pierre Maël.
peintre orientaliste, directeur de l’École des Beaux Arts d’Alger, de renommée internationale à l’époque.
Conventionnel montagnard, fervent défenseur de la déchristianisation. Sous-préfet de Lesparre.
Journaliste et homme politique républicain, incarcéré à plusieurs reprises à la suite des agitations qu’il organe sous la Monarchie de Juillet.
Homme d’Etat italien, l’un des principaux acteurs de l’unification du pays.
Favorite de Louis XVIII qui lui offrit le château de Saint-Ouen.
Homme d’Église français, janséniste, évêque d’Auxerre de 1704 à 1754.
Médecin et poète symboliste français. Il se fit connaître sous le pseudonyme de Jean Lahor.
Général d’Empire (génie), il se distingua en Egypte.
Peintre et céramiste, il fut chargé d’achever les décorations murales de Puvis de Chavannes au Panthéon.
Banquier, journaliste et collectionneur d’art italien naturalisé français.
Jésuite, membre de l’Assemblée législative (1791), auteur d’un Mémoire pour le peuple français (1788) qui eut à peu près autant de succès que l’écrit de Sieyès, Qu’est-ce que le Tiers Etat. Grand ami de Mirabeau, il prononça son éloge funèbre.
Écrivain et homme politique français. Il fut poète, dramaturge, essayiste et biographe.
Acteur comique, chanteur, co-directeur du Théâtre Montansier sous l’Empire.
Romancier et essayiste d’inspiration catholique, prix Sainte-Beuve.
Premier ministre, président de l’Assemblée nationale, maire de Bordeaux, gaulliste et résistant.
Zoologiste, herpétologiste et ichtyologiste, correspondant du Muséum.
Poète de l’Ecole fantaisiste, ami de Carco, Toulet et Derème, grand prix de la poésie de l’Académie française.
Littérateur, poète dramatique et musicien, membre de l’Académie française.
Peintre et illustrateur français, spécialisé dans le nu féminin.
Nusmimate, auteur du Catalogue des monnaies gauloises de la Bibliothèque Nationale (1889).
Homme politique, ministre de l’Intérieur (1817), puis ministre de la Marine (1824).
Ecrivain et poète ; durant la Grande guerre, il reste enseveli durant plusieurs heures ; il en gardera de graves séquelles psychologiques ; à partir de 1921, il est hospitalisé et perd peu à peu contact avec ses amis Valéry Larbaud et Pierre Mac-Orlan qui voyaient en lui un écrivain très prometteur.
Peintre de l’Ecole de Barbizon, prix de Rome (1854).