Militaire français, quatrième maréchal de France de la famille d’Harcourt.

Général français de la Révolution et de l’Empire., Il mourut des suites d’une blessure reçue à la bataille d’Eylau.

Dit « le bâtard d’Orléans », chef militaire durant de la guerre de Cent Ans et compagnon d’armes de Jeanne d’Arc lors de la levée du siège d’Orléans (1429). Fils naturel de Louis I^er d’Orléans.

Duc d’Angoulême (1775-1824), puis dauphin de France (1824-1830) et comte de Marnes (1830-1844), fils de Charles X et de Marie-Thérèse de Savoie.

Fille de Gaston d’Orléans et de Marie de Bourbon et petite-fille du roi Henri IV, elle était la cousine germaine de Louis XIV. Elle fut duchesse de Montpensier, dauphine d’Auvergne, comtesse d’Eu et de Mortain et princesse de Joinville et de Dombes.

Erudit, historien, secrétaire perpétuel de l’Académie des Inscriptions, conservateur de la Bibliothèque Nationale, académicien (1823).

Représentant du peuple dans le Morbihan. Il soutient une monarchie à la faveur du comte de Chambord.

Homme politique. Député du Vaucluse (1919), ministre des Colonies (1924), président du Conseil (1933), Premier ministre sous Albert Lebrun (janvier et février 1934). Plusieurs fois ministre de la Guerre, il signe l’accord de Munich et la déclaration de la guerre à l’Allemagne. Il sera écarté par Pétain avant d’être déporté en Allemagne, jusqu’en 1945.

Géologue, professeur de géologie appliquée à la Faculté des sciences de l’Université d’Alger, président de l’Institut de recherches sahariennes. Député d’Alger (1946).

Brillant officier de cavalerie de Louis XIV, lieutenant général de ses armées, il se distingua à Garpi (1702), à Asti (1705) et a été fait prisonnier à Oudenarde (1708) ; il était en outre sous-lieutenant des mousquetaires.