Homme d’État algérien. Indépendantiste convaincu, il fut chef du gouvernement de 1962 à 1963 puis le premier président de la République de 1963 à 1965.

Théoricien communiste et révolutionnaire, fondateur du journal Ni Dieu Ni Maître.

Philosophe et écrivain, précurseur de Babeuf et du communisme (selon Jaurès), il publie en avril 1789 son Catéchisme du genre humain qui le rend célèbre ; durant la Révolution, il devient archiviste puis vice-président du Club des Jacobins.

Petit fils de Jérôme Bonaparte, expulsé de France en 1886, il épouse la princesse Clémentine de Belgique en 1910.

Journaliste et homme politique républicain, incarcéré à plusieurs reprises à la suite des agitations qu’il organe sous la Monarchie de Juillet.

Révolutionnaire hébertiste, procureur de la Commune de Paris, il lutta pour l’abolition de l’esclavage et fut guillotiné avec Hébert le 13 avril 1794.

Nommé ministre des Contributions en 1792. Girondin, il est arrêté le 2 juin 1793 et se poignarde au bout d’un séjour de six mois en prison.

Industriel britannique et un homme d’État radical et libéral.

Fouriériste, il tente, avec l’appui de puissants financiers, des essais de phalanstère, qui sont un échec. Puis il fonde, au Texas, une commune sociétaire, qui est ruinée par la guerre de Sécession.

Emeutier de la Commune, il fut arrêté le 22 mai à la barricade de la rue de Rome. Il a été considéré comme l’un des hommes les plus dangereux de la Commune.