
Adolphe Blanqui
Frère aîné d’Auguste Blanqui, il est économiste, titulaire d’une chaire au Conservatoire des arts et métiers puis directeur de l’Ecole spéciale du commerce et de l’industrie. Il fut également député, favorable à Louis-Philippe.
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Frère aîné d’Auguste Blanqui, il est économiste, titulaire d’une chaire au Conservatoire des arts et métiers puis directeur de l’Ecole spéciale du commerce et de l’industrie. Il fut également député, favorable à Louis-Philippe.
Elu député de la Seine en 1919, il devient l’un des principaux leaders du parti socialiste (SFIO). Président du Conseil en 1936, déporté pendant la Seconde guerre mondiale et élu président du gouvernement provisoire de décembre 1946 à janvier 1947.
Intendant des finances, chambellan et secrétaire de François 1er, il fit bâtir le château de Chenonceau.
Conventionnel, membre du Comité de Salut Public, président du Directoire.
Fils de Jérôme Bonaparte, député d’extrême-gauche en 1848 (d’où le surnom de Prince de la Montagne), il participe activement à l’édification de l’unité italienne.
Avocat et député, défenseur de Beaumarchais et du général Moreau.
Ministre de la Guerre sous la Révolution (avril 1793 – avril 1794).
Général. Commandant du corps d’occupation en Tunisie, puis ministre de la Guerre. Il donne son nom au boulangisme.
Contrôleur général des Finances de Louis XV (1757-1759).
Ministre de la Marine et des Colonies au début du Consulat (juillet – novembre 1799), il entame ensuite une carrière de préfet.