Le chapelain de Marie-Antoinette se bat contre la Ferme générale.

Lettres de l'abbé de Maranzac «chanoine de Chartres et chapelain de madame la Dauphine [Marie-Antoinette]», relatives à une affaire qui l'oppose, avec ses soeurs, à la ferme générale de Toulouse. «J'espère, monseigneur, que vous ne permettrez pas qu'on nous écrase en frais. La ferme ne perd pas un sol. Vous avés daigné accorder au fermier la demande qu'il vous a fait de réformer l'ordonnance de M. l'intendant du Languedoc, et il a profité de la protection que votre coeur bienfaisant vous a porté à me donner dans cette affaire pour vous demander plus qu'il n'auroit peut-être obtenu, si je m'étois deffendu juridiquement, devant un juge, aussi digne et juste que vous, Monseigneur [...]. J'ose encore réclamer votre protection pour que vous fassiés donner des ordres à M. Joly d'accepter les petites sommes à quoy je suis condamné [...]».