Jean-Martin Charcot ne change pas d’avis sur un diagnostic mais propose un nouveau traitement
Jean-Martin Charcot (Paris, 1825/1893)Jean-Martin Charcot regrette de ne pouvoir répondre à l'invitation de son confrère, "surtout à cette époque où les cours recommencent. D'ailleurs qu'apprendrais-je de nouveau à voir la malade : je l’ai véritablement devant les yeux, et je ne saurais en la voyant changer d’idée sur la nature de son affection. Il est regrettable seulement que le traitement que jamais je n’avais vu faiblir (jamais je le répète) soit resté impuissant ici et je ne vois plus que le Salicylate de soude qui puisse avoir quelque chance de réussir". Bien que la situation soit pénible, il rappelle qu’à son avis la maladie est "sans gravité pour la vie et qu’elle guérira un jour ou l’autre".
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