Jean de La Varende se cramponne « pour se maintenir au dessus du découragement, du désespoir »

2 lettres de Jean de La Varende, à son ami Jean de Fleury, écrites à la fin de sa vie.

Jean de La Varende se montre sincèrement touché de la dernière lettre de Maurice de Fleury : "[...] Si quelque chose pouvait aujourd'hui m'apporter quelque réconfort, ce serait pareil témoignage. Mais le moment est si dur, si absurde et si bas !.. Ah ! qu'il faut donc se cramponner ! Qu'il faut donner de soi pour se maintenir au dessus du découragement, du désespoir. Ne croyez pas que je puisse dépasser la souffrance, hélas. Enfin, il ne doit pas être impossible de bien finir... Je pense à la Mort du Loup [...]". Dans son second courrier La Varende s'amuse du succès de presse "si curieux" de son ouvrage "Indulgence plénière".